L'EDUCATION, LA CLE DU SUCCES

 Alors que l’école est un lieu de socialisation (Percheron, 1985, p. 210) de premier plan, d’aucun attribuent ces dépravations aux enseignants et d’autres aux parents. Nous sommes tous d’accord que dans nos écoles, le métier de l’enseignant doit être bien plus que la transmission du savoir. Les enseignants ont le devoir selon les normes d’enseignement active et moderne d’équiper leurs feuilles de route des ‘‘situations problèmes-solutions’’. Des ‘‘situations problèmes-solutions’’ qui doivent normalement trouver des réponses aux questions réelles et courantes telles que : "comment créer un business et réussir dans un milieu où il y a manque d'emploi, comment sortir de la drogue et l'alcool, comment prévenir les incendies des marchés grâce à la technologie...." 

Ceci pour dire que les apprenants doivent être en mesure de faire usage de leurs divers apprentissages pour analyser et résoudre efficacement les problèmes économiques, sociaux, culturels qu’ils rencontrent quotidiennement dans la vie active. Malheureusement, une grande partie de ces personnes pensant apporter des solutions ‘‘personnes scolarisées’‘ sont ceux qui vivent plus de problèmes sans solutions.

En effet, pour reconnaitre ceci, ce n’est pas du tout difficile. Il suffit juste jeter un regard observateur dans l’environnement et se rendre compte de qui substituent, l’alcool, la drogue, le crime, l’abus et la négligence au chômage.

 A qui la faute ? Pouvons-nous attribuer une partie de cette lourde responsabilité aux enseignants de nos élèves, aux parents ou à tout le système éducatif ?  L’éducation ‘‘scolaire’’ au lieu de contribuer à résoudre les problèmes n’est-elle pas en train d’en créer ? Réfléchissons-en.

Richard Komlanvi ATCHRIMI, Expert en éducation#AndragoguePsychopédagogue